thème : travail
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jeudi 24 janvier 2008 à 14h

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Ceci est une manifestation en 2008

Pour voir la manifestation du 29 janvier 2009 suivez ce lien


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parcours / trajet : départ de Bastille à 14h pour rejoindre Saint Augustin (par République et grands boulevards).

ordre du cortège syndical : FSU/ CGT/ UNSA/ FAEN/ CGC/Sgen CFDT/Solidaires / CFTC/ FO/

Banderole de tête : « Ensemble pour les salaires, l'emploi, les statuts et les services publics ! »

universités : un départ séparé est prévu pour les universités et la recherche (LRU) à Jussieu, 13h. Le cortège des universités se joindra ensuite au reste de la manifestation, à Bastille 14h. (plus d'infos, voir ici)

RDV des cortèges syndicaux :
la FSU se positionne Bd Beaumarchais et rue St Antoine
CGT : place de la Bastille/ rue Lenoir rue de la Roquette rue du Fg St Antoine
UNSA : pied de la colonne
FAEN et SGEN-CFDT : place coté rue de Lyon
Solidaire : Place angle Bd de la Bastille
CFTC : Place entre Bd Bastille et rue Bourdon

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/4493
Source : http://reseaudesbahuts.lautre.net/
Source : message SNESUP reçu le 11/01


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Journée nationale de grève et de manifestations le 24 janvier 2008

CGT / FO / FSU / UNSA / CFTC / Solidaires

Communiqué des organisations syndicales de la Fonction publique


La forte mobilisation du 20 novembre 2007 a contraint le gouvernement à ouvrir une négociation salariale ce lundi 17 décembre 2007.

Or, les propositions qui ont été faites par le ministre chargé de la fonction publique ne sont pas acceptables tant sur la forme que sur le fond.

En effet, le gouvernement refuse d'accorder une mesure générale de revalorisation du point d'indice, seule à même d'assurer un réel maintien du pouvoir d'achat pour l'ensemble des agents de la fonction publique.

Au contraire, il persiste à faire entrer dans le maintien du pouvoir d'achat des mesures individuelles de promotion (glissement vieillesse technicité), ce qui revient à nier le principe même de déroulement de carrière.

Ces pseudo négociations ne peuvent donc nous convenir car elles portent atteinte de façon frontale aux principes même de la négociation collective des salaires dans la fonction publique pour les remplacer par une individualisation des rémunérations.

Les mesures de gestion des ressources humaines annoncées dans le cadre de la réforme des politiques publiques heurtent également de façon frontale les fondamentaux du statut général de la fonction publique et vont contribuer à amplifier les suppressions d'emplois.

Pour l'ensemble de ces raisons, les organisations syndicales refusent de participer cette semaine à la conférence et à la réunion organisées par le ministère de la fonction publique.

Elles appellent sur leur plateforme commune à l'action le 24 janvier 2008 par la grève et les manifestations pour exiger l'ouverture de réelles négociations sur la valeur du point d'indice et la refonte globale des grilles indiciaires, afin de permettre le rattrapage des pertes de pouvoir d'achat.

Paris le 18 décembre 2007

Voir également : le communiqué de Solidaires


Source : http://www.solidaires.org/article17036.html


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LE JEUDI 24 JANVIER 2008 POUR L'AUGMENTATION DES SALAIRES, RETRAITES ET MINIMA SOCIAUX

Tous dans la rue avec Force Ouvrière

25 % des habitants de Seine-Saint-Denis vivent avec moins de 845 euros par mois. Voilà une réalité, et encore ce n'est que le reflet de la situation à fin décembre 2006. Aujourd'hui, cela a empiré et aucune région française n'est épargnée.

Par conséquence, la Fédération Générale Force Ouvrière (BTP- Bois ; Papier- Carton ; Matériaux- Céramique- Thermique) appelle l'ensemble des salariés de ses secteurs à manifester solidairement (Privé - Public) le jeudi 24 janvier 2008 pour l'augmentation des salaires, retraites et minima sociaux.

Sans vouloir noircir le tableau, il faut vous brosser la situation. Un quart des habitants de moins de 65 ans de Seine-Saint-Denis, soit 326 000 personnes, vivent sous le seuil des bas revenus.

A titre indicatif, un couple sans enfant ou une famille monoparentale avec un enfant de moins de 14 ans sont à bas revenus si leurs ressources mensuelles sont inférieures ou égales à 1 267,5 euros. Pour un couple avec deux enfants de moins de 14 ans, ces ressources doivent être au plus égales à 1 774,5 euros.

La part des personnes à bas revenus est de 14,2 % à Paris (260 000 personnes), 14,5 % dans le Val-de-Marne, et 11,2 % dans les Hauts-de-Seine. Dans les autres départements de la grande couronne, elle est de 11,2 % en Seine-et-Marne et dans l'Essonne et de 14,7 % dans le Val-d'Oise.

50 % DES ALLOCATAIRES À BAS REVENUS NE PERÇOIVENT PAS DE MINIMA SOCIAUX

Les foyers à bas revenus bénéficiaires d'une allocation versée par les caisses d'allocations familiales (CAF) étaient au nombre de 593 000 en Ile-de-France à la fin de l'année dernière. Ils abritaient un peu moins de 1,4 million de personnes, soit environ 14 % de la population francilienne de moins de 65 ans.

Cette situation dramatique est vécue par des millions de nos concitoyens partout en France : elle est intolérable.

Des promesses avaient été faites lors de la campagne présidentielle en matière de pouvoir d'achat. A la place, nous avons eu droit à des mesurettes qui s'avèrent stériles. Non seulement on ne voit rien venir en matière de pouvoir d'achat, mais c'est plutôt une nouvelle et nette dégradation qui se profile désormais.

Le décalage entre les promesses du printemps dernier et les réalités du moment compte pour beaucoup. Et la déception est d'autant plus forte que, depuis longtemps déjà, les revenus de nombre de Français parmi les plus modestes ne s'accroissent pratiquement plus.

Le pouvoir d'achat constitue depuis des mois la première préoccupation des Français, Il devance désormais les attentes en matière d'emploi, de chômage, de retraite et de santé. Une majorité de salariés et de retraités, et bien sûr les privés d'emploi, se plaignent de l'insuffisance de leur pouvoir d'achat.

A en croire certains commentaires d'experts, il ne s'agirait seulement que d'un sentiment, d'une impression. C'est faux : pour la majorité des travailleurs, la baisse du pouvoir d'achat est une réalité,

Qui plus est, l'INSEE jette un caillou dans le jardin de l'Elysée en confirmant la faiblesse de la croissance et les fortes tensions sur le pouvoir d'achat

Le calendrier des publications statistiques offre parfois des télescopages bienvenus. C'est le cas de la note de conjoncture de l'INSEE, publiée le 21 décembre 2007, et qui vient alimenter et confirmer les inquiétudes de la CGT-Force Ouvrière.

Pour ce qui est des facteurs affectant la croissance, la crise des « subprimes » n'en finit pas de peser sur les conditions de crédit des entreprises et tout laisse à penser que le processus ne fait que commencer au niveau national. Autre source d'incertitude, l'euro dont le taux de change avec le dollar paraît encore susceptible de monter, pénalisant un peu plus le commerce extérieur français.

Bien que ne figurant pas sur l'agenda social du gouvernement, la problématique du pouvoir d'achat est au cœur de l'analyse et les prévisions sont également riches d'enseignements. Concernant le données relatives à la progression du pouvoir d'achat en 2007, si l'INSEE affiche une progression de 3,3% du revenu disponible brut des ménages, Force Ouvrière souligne le fait, relevé par l'institut, que cette évolution tient aux baisses d'impôts généreuses et aux diverses mesures de défiscalisation. Autrement dit, cette tendance s'opère de manière très ciblée et elle vient réduire les circuits de financement de la protection sociale collective et de l'Etat solidaire.

Deux points saillants sont à relever dans les analyses de l'INSEE : d'une part, l'institut se refuse à intégrer les effets potentiels du rachat des journées de RTT, actuellement en cours d'examen au Parlement, en raison d'une incapacité à en évaluer le volume, ce qui en dit long sur le flou entourant ces dispositions… D'autre part, l'appréciation portée sur le déblocage programmée de la participation, qui figure dans le même projet de loi, s'avère beaucoup plus mesurée que les projections gouvernementales - 1 milliard de dépenses de consommation additionnelle contre 4 milliards - et ce, en se basant sur l'impact observé d'une mesure comparable adoptée en 2004. Pour la Fédération Générale FO, ces jugements, bien que policés, témoignent du caractère marginal des dispositions phares de la loi sur le pouvoir d'achat…

Dans un tel contexte, marqué qui plus est par une forte envolée des prix dans des domaines essentiels que sont l'énergie et les produits alimentaires, Force Ouvrière entend poursuivre la lutte pour l'amélioration du pouvoir d'achat et porter la revendication salariale.

TOUS DANS LA RUE LE 24 JANVIER 2008
AVEC LES UNIONS DEPARTEMENTALES FORCE OUVRIERE
Pour l'augmentation des salaires, retraites et minima sociaux.

Source : http://www.force-ouvriere.fr/page_principal/f...


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UNION SYNDICALE SOLIDAIRES
FONCTIONS PUBLIQUES ET ASSIMILES

Le 24 janvier, tous en grève

pour l'amélioration de nos rémunérations et pour la défense de la Fonction publique !

Le ministre de la Fonction publique refuse toujours de mettre en oeuvre des mesures de rattrapage du pouvoir d'achat perdu par les personnels de la Fonction publique. S'il admet que pour 2009, il faudra ouvrir des discussions en amont de la préparation du budget, il nie la perte globale de pouvoir d'achat et refuse d'entendre les revendications des personnels, exprimées unanimement par les organisations syndicales, de mesures d'augmentation générale du traitement.

Au-delà des mesures salariales, les mesures annoncées dans le cadre de la révision générale des politiques publiques, les suppressions de postes et la casse annoncée du statut confirment la nécessité de construire les mobilisations nécessaires pour l'amélioration de nos rémunérations et pour la défense des services publics.


Mauvaise foi et mépris sur le pouvoir d'achat :

Sous l'apparence du dialogue social le ministre de la Fonction publique a semblé vouloir un temps répondre à la revendication des personnels pour l'ouverture de négociations salariales. Mais le 17 décembre, le ministre n'a sur la base de statistiques faussées, proposé que des mesures individuelles pour garantir le pouvoir d'achat des personnels. Loin de la demande unanime des organisations syndicales de mesures générales immédiates Eric Woerth s'est enfermé dans la logique de l'individualisation des rémunérations qui à terme cassera la grille des salaires. Or seule une mesure générale de revalorisation du point d'indice permettra d'assurer un réel maintien du pouvoir d'achat pour l'ensemble des personnels de la Fonction publique.

Volonté de destruction de la Fonction publique

Les mesures présentées le 12 décembre dernier dans le cadre de la « modernisation ds politiques publiques sont le reflet de la pensée unique déclinée par Nicolas Sarkozy. Il s'agit de faire des économies en supprimant des services publics de proximité et d'adapter la fonction publique aux suppressions massives de poste programmées pour les prochaines années.

Au-delà, c'est une philosophie libérale qui veut s'appliquer et les mesures annoncées dans le cadre de la Révision générale des politiques publiques (RGPP) sont préjudiciables aux personnels comme aux usagers. Elles favoriseront la casse du statut de la Fonction publique et permettront de justifier par la suite les externalisations et les privatisations

Pour l'amélioration des rémunérations de tous les personnels de la Fonction publique

Pour le rattrapage du pouvoir d'achat

Pour la défense de la Fonction publique


TOUS EN GREVE ET EN MANIFESTATION LE 24 JANVIER

⇒ Pour le rattrapage des pertes de pouvoir d'achat (actifs et retraités)

⇒ Pour une amélioration significative des rémunérations

⇒ Pour un emploi public statutaire

⇒ Pour préserver et améliorer le statut de la Fonction publique et l'indépendance des personnels

⇒ Pour préserver un service public de qualité et de proximité

Le 24 janvier, l'Union syndicale Solidaires appelle tous les personnels de la Fonction publique à se mobiliser par la grève et les manifestations !

Source : http://www.solidaires.org/article17287.html
Source : http://www.solidaires.org/article17082.html


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Six syndicats de fonctionnaires appellent à la grève le 24 janvier

A l'issue d'une première session de négociations avec le gouvernement sur l'épineuse question des salaires lundi 17 décembre, six syndicats de fonctionnaires (FSU, CGT, UNSA, Solidaires, FO, CFTC) ont décidé mardi le principe d'une grève pour le 24 janvier, afin d'obtenir une revalorisation globale des salaires.

Source : http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823...


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Six des huit syndicats de l'éducation nationale appellent à la grève le 24 janvier

Après l'appel à la grève lancé par les syndicats de fonctionnaires, mardi 18 décembre, six des huit fédérations de l'éducation ont à leur tour appelé à faire grève le 24 janvier, à l'issue d'une réunion commune mercredi 19 décembre. A sa sortie, le secrétaire général de la FSU, Gérard Aschieri, a annoncé que "la FSU, l'UNSA éducation, la FERC-CGT et FO" lançaient un appel à la grève "pour dénoncer l'absence de réponse du gouvernement aux suppressions de postes prévues au budget 2008 dans l'éducation nationale". Source : http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-322...