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samedi 2 mars 2013 à 14h

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Marche solidaire des peuples

contre le colonialisme, le néocolonialisme et le racisme

Trajet / parcours: rv 14h Barbès, manifestation en direction du siège d'Areva

Barbès - Hommage à Stéphane Hessel, Chokra belaïd et aux militants palestiniens emprisonnés > rue des poissonniers > rue Polonceau > église St Bernard (arrêt) > Place Stalingrad > rue Lafayette (arrêt devant le Centre d'info du Kurdistan où ont été assassiné les 3 militantes Kurdes) > arrivée Métro Le Peletier, devant le siège d'Aréva

En ce début d'année 2013, des situations soulèvent l'indignation et attisent l'esprit de résistance :

  • Assassinats en plein Paris de 3 militantes kurdes et d'un militant Tamoul quelques semaines auparavant
  • La politique d'expulsions systématiques du gouvernement battant tous les records : 36 822 personnes, hommes, femmes, enfants expulsés en 2012 contre 32 912 en 2011 (+ 11,9 %). ; chasse aux Roms décrétée par le Ministre de l'intérieur, contre lesquelles s'élèvent des mouvements de grève de la faim des sans papiers à Lille et d'occupations de lieux pour refuser la politique d'expulsions systématiques du gouvernement ;
  • Déclarations racistes et islamophobes décomplexées et répétées comme sur le « pain au chocolat », réhabilitation de l'idée coloniale : hommage rendu à Bigeard, l'homme de la torture, doigt d'honneur à l'Algérie de l'ex ministre Longuet …
  • L'intervention militaire française au Mali qui, comme pour la guerre en Afghanistan, invoque la lutte contre le terrorisme comme justification d'une intervention et s'inscrit dans la politique de la France, gendarme de l'Afrique. Cette guerre est lourde de menace de déstabilisation d'une région où les intérêts des multinationales françaises sont importants
  • Accentuation de la colonisation dans les territoires occupés en Palestine et au Sahara occidental

Comme chaque année depuis 8 ans, la semaine anticoloniale et antiraciste, du 16 février au 3 mars, se terminera par la marche anticoloniale et antiraciste clôturant cette quinzaine de luttes, de débats, de fêtes. Cette manifestation rassemblera toutes celles et tous ceux qui refusent un monde injuste où les « valeurs » du colonialisme, du racisme, de l'intolérance, l'emportent sur l'égalité des droits, la liberté des peuples, la fraternité entre les peuples du monde. Trois semaines avant la tenue du Forum Social Mondial à Tunis, nous aurons à le dire encore haut et fort, le 2 mars à 14 h à Barbès et dans toute la France :

Nous manifesterons pour :

  • Le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, et en premier lieu le droit à l'autodétermination ;
  • Le droit de réparation pour les peuples colonisés ou mis en esclavage et le remboursement des rançons coloniales comme celle due à Haïti ;
  • La condamnation du négationnisme en matière d'histoire coloniale, l'ouverture des archives sur les crimes coloniaux et l'enseignement dans l'éducation nationale de l'histoire de l'esclavage et de la colonisation ;
  • La souveraineté des peuples et des nations sur leurs ressources naturelles, le rejet de toutes les formes de domination économique et environnementale; l'annulation de la dette financière et le remboursement de la dette écologique des pays du Sud
  • Le soutien aux révolutions citoyennes en Amérique latine et dans les pays arabes, contre les multinationales et les dictatures
  • La fin des pratiques postcoloniales dans la gestion de l'immigration et des quartiers populaires et la lutte contre le racisme, la régularisation des sans - papiers ;
  • L'égalité des droits civiques et sociaux, la reconnaissance de la citoyenneté de résidence qui implique l'attribution du droit de vote et l'éligibilité de tous les résidents, la fin du contrôle aux facies ;

Nous manifesterons contre :

  • L'impérialisme sous ses différente formes, telles que les occupations illégales de territoires (notamment en Palestine et au Sahara Occidental), toutes les interventions militaires néocoloniales, la perpétuation de la Françafrique, pour le retrait des troupes françaises d'Afrique et la fin de la présence des bases militaires sur des territoires étrangers
  • La situation à caractère colonial qui prévaut dans les Territoires d'Outre mer en Kanaky, Polynésie, Martinique, Guyane, Guadeloupe, La Réunion, Mayotte
  • Le racisme et ses habits, l'islamophobie et la négrophobie, la xénophobie d'Etat, la ségrégation et la stigmatisation des populations issues de l'immigration,

Le 2 Mars, toutes et tous dans la rue pour la solidarité internationale, le droit des peuples, contre la guerre, l'exploitation et toutes les formes de recolonisation, le racisme et la xénophobie.

Premiers signataires :

Sortir du colonialisme, MRAP, FASTI, ATTAC, Survie, AFASPA, CRAN, Mouvement de la Paix, Cedetim, Au nom de la mémoire, 4ACG (Anciens Appelés en Algérie et leurs amis contre la guerre, DAL, COPAF (Comité pour l'Avenir des Foyers), Droits Devants, CSP 75, Collectif des Etudiant-e-s Etrangèr-e-s de Paris 8, 9ème Collectif des Sans papiers, Collectif Faty Kumba, 93 au cœur de la République (Aubervilliers), Organisation de Femmes Egalité, Femmes Plurielles, Fondation Frantz Fanon, MIR (Mouvement International pour les Réparations, Collectif Baraka, D'ailleurs Nous sommes d'ici, ACCA (Agir contre le Colonialisme Aujourd'hui), El Otro Correo/Rencontres avec des Peuples en Lutte, CRI (Coordination contre le Racisme et l'Islamophobie), association LES ORANGES, Comité Paca pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah, HGMJ (Halte aux Génocides - Mémoire et Justice), Pink Bloc Paris, FUIQP (Front Uni de l'Immigration et des Quartiers Populaires), Académie des Arts et Culture du Kurdistan, Fédération des Associations des travailleurs et des jeunes (DIDF), La Maison du Tamil Eelam, USTKE, collectif Solidarité Kanakie, Génération Palestine, Campagne BDS France, CCIPPP, GUPS, UJFP (Union Juive Française pour la Paix), IJAN France, Comité Palestine Paris 8, CORELSO (Comité pour le respect des libertés et des droits humains au Sahara occidental) , Plateforme pour la solidarité avec le peuple du Sahara occidental, AFAPREDESA : Association des Familles des Prisonniers et Disparus Sahraouis, ACSF: Association de la communauté Sahraouie en France, ASF: Association des Sahraouis en France, Front populaire du 14 janvier (Tunisie, section France), ATMF, FTCR, AMAL (Association pour la Mémoire Algérienne en France), Union des Populations du Cameroun (Section France), SADI - Mali, CAAC Comores, Actus PRPE (Tchad), Union Syndicale Solidaires, CNT, PCF, PG (Parti de Gauche), FASE (Fédération pour une Alternative Sociale et Ecologique), Parti Communiste des Ouvriers de France (PCOF), NPA, Alternative Libertaire, Les Alternatifs, Gauche Anticapitaliste, PCM, Convergences et Alternatives

Pour signer l'appel : contact@anticolonial.org

Pour le programme de la semaine : www.anticolonial.net

Lien : https://paris.demosphere.net/rv/23875
Source : message reçu sur la liste Anticolonial le 25 février 19h
Source : message reçu sur la liste Anticolonial le 8 février 19h
Source : message reçu sur la liste Anticolonial le 5 février 15h
Source : message reçu sur la liste Anticolonial le 7 décembre 21h


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Déclaration Mali :

La politique de la canonnière n'est pas une solution

Depuis le 10 janvier 2013, la France est entrée en guerre au Mali. La propagande du gouvernement français, tend aujourd'hui à légitimer par tous les moyens cette nouvelle intervention militaire française sur le sol africain et son rôle de "gendarme de l'Afrique" dans ses anciennes colonies africaines. Il est de notre devoir en tant qu'anticolonialistes et partisans de la solidarité internationale des peuples de faire toute la lumière sur l'opération Serval

1°) Sur la base de quel mandat cette guerre a-t-elle été déclenchée ?

Cette intervention directe a été décidée dans l'ombre, sans consultation préalable du Parlement et ne s'inscrit pas dans le cadre des résolutions de l'ONU contrairement à ce que tente de nous faire croire le gouvernement. Une fois de plus, la France joue le rôle de gendarme de l'Afrique, en s'appuyant sur la présence permanente de son armée dans la région. C'est le dispositif Epervier, en place au Tchad depuis 1986 alors qu'il était supposé provisoire, qui est mobilisé. À travers l'opération baptisée Serval, ce sont donc les liens que Paris entretient avec des dictatures, celles entre autres, d'Idriss Déby et de Blaise Compaoré, qui se trouvent une nouvelle fois renforcés.

2°) Comment en est on arrivé là ?

Le prétexte de cette intervention militaire française est la lutte contre les groupes armés maffieux et djihadistes qui contrôlent une partie du territoire malien. Ces groupes fanatiques font régner la terreur dans les zones qu'ils contrôlent et nous n'avons aucune indulgence pour eux. Il faut les stopper. Cependant leur présence et la facilité avec laquelle ils se sont déployés, traduisent deux faits majeurs :

- L'existence de profonds problèmes sociaux, économiques et politiques, que les régimes au pouvoir au Mali, sous contrôle de la France, n'ont pas résolus, quand ils ne les ont pas aggravés par leur gestion du pays. Au Mali, un régime corrompu s'est plié aux injonctions du libéralisme économique et s'est montré inopérant à assumer les responsabilités de l'Etat en matière sociale, éducative et de sécurité. Les revendications portées par une partie de la population touareg n'ont jamais trouvé de réponse satisfaisante depuis le temps des « indépendances ». En 1984 la Françafrique impose au Mali son retour au Franc CFA. Le 11 janvier 1994, la dévaluation de 50 % de cette monnaie imposée par la France à ces pays va considérablement aggraver leur situation économique. L'étranglement financier des Plans d'Ajustement Structurels imposés par le FMI et la Banque mondiale, a contribué au démantèlement de l'Etat malien. La dette et son remboursement continuent d'être les instruments d'une paupérisation des populations.

- L'intervention militaire franco-britannique en Libye dont les conséquences furent la dissémination d'armes dans la région et le reflux au Mali de milliers de mercenaires a engendré le chaos et l'occupation du Nord du Mal par ces groupes armés.

C'est dire qu'une solution militaire, a fortiori, une intervention militaire étrangère, ne résout aucun de ces problèmes, bien au contraire.

3°) La France, sous couvert de l'aide au peuple malien, défend au Sahel ses intérêts privés stratégiques

Le Sahel est une région de matières premières riches et encore largement inexploitées. La France y a des intérêts stratégiques: pétrole, uranium, ressources énormes en eau souterraine, terres cultivables, or, fer, bauxite… Tout cela est convoité par les multinationales françaises, qataries, américaines… Sans oublier la plate-forme aéroportuaire de Tessalit (près de Kidal), utile pour surveiller et contrôler toute la région du Sahel, la Méditerranée, la mer Rouge. Cinq bassins de gaz et de pétroles recèlent un potentiel important. La Mauritanie a elle aussi des richesses pétrolières non encore exploitées. Présent dans ces pays, Total y multiplie les opérations d'exploration. Le Niger revêt un aspect stratégique pour le nucléaire français puisqu'Areva y exploite ses mines d'uranium, provoquant en même temps un désastre écologique de très grande ampleur, dont les populations locales sont les premières victimes.

4°) La Françafrique , ce n'est pas fini !

La France, malgré toutes les déclarations vertueuses sur « la fin de la Françafrique », conduit une fois de plus une opération dans son précarré traditionnel. Depuis la « décolonisation », c'est la 53ème intervention de l'armée française sur le continent dont on peut apprécier les résultats . Elle peut se déployer tout simplement parce qu'elle dispose de bases militaires dans cinq pays de la région. Nous devons en terminer avec cette fonction de gendarme autoproclamé de l'Afrique. L'intervention militaire et la guerre par procuration renforcent la dépendance des pays africains. Ce choix permet à la France de maintenir son influence géopolitique dans la région, et de préserver des intérêts privés face aux différents appétits d'autres acteurs économiques internationaux. La crise malienne et cette nouvelle intervention militaire française en Afrique révèlent l'échec de 50 années de "coopération" avec l'Afrique : armées incapables de protéger leurs populations, chefs d'Etat médiateurs de crises, eux-mêmes putschistes, accords de défense et bases militaires qui ont perpétué la domination de la France sur ses anciennes colonies. Ces événements appellent une fois de plus à une remise en cause de l'ensemble du cadre des relations franco-africaines. La Françafrique ce n'est pas fini. Constituée autour de l'Etat major, des entreprises françaises et de l'Elysée, liées à des dictateurs corrompus et à des réseaux parallèles et maffieux, la Françafrique contribue à piller les ressources naturelles des pays francophones par la corruption, la manipulation et la guerre, en toute impunité. Elle permet à des chefs d'Etat de se maintenir au pouvoir, contre les aspirations des peuples à prendre leur avenir en mains.

5°) Le remède est à terme pire que le mal : les conséquences de l'intervention militaire sont dévastatrices :

Avec un objectif politique aussi flou et malléable que « la lutte contre le terrorisme », une telle guerre peut être sans fin : initialement présentée comme une nécessité défensive, l'opération Serval a déjà basculé dans une phase offensive et est désormais annoncée pour une durée indéterminée. Le bilan accablant des récents antécédents français en Afrique annonce pourtant l'échec programmé de cette aventure : Les interventions de 2011 en Côte d'Ivoire et en Libye ont en effet débouché sur des situations internes explosives, aujourd'hui passées sous silence. Cette fois encore, l'opération militaire risque de laisser place à des comportements de revanche violents contre la population du nord du Mali, notamment des exactions contre les populations arabe et touareg, dont l'armée française pourrait bien se rendre complice au nom de la lutte contre le terrorisme.

Cette logique de guerre risque même de déstabiliser le Sahel tout entier, par la dissémination des groupes armés et la présence de troupes étrangères offrant le prétexte idéal à de nouvelles prises d'otages et à la mobilisation de nouveaux djihadistes, parmi la population locale ou en provenance d'autres régions du monde.

La rhétorique belliciste de la guerre contre le terrorisme, de l'Irak à l'Afghanistan renforce le djihadisme et l'idéologie de la guerre de civilisation, sans rien résoudre sur le terrain. Cette rhétorique est d'autant plus dangereuse qu'elle favorise le renforcement des courants djihadistes notamment en Tunisie et en Libye.

6°) La France doit balayer devant sa porte :

Elle est muette sur le rôle des Etats du Golfe qui soutiennent financièrement les djihadistes qui ont attaqué le Mali. Mais elle parle « affaires » avec le Qatar et coopère militairement avec l'Arabie Saoudite.

La guerre au Mali aggrave une situation catastrophique. Avant même l'intervention militaire française, plus de 150 000 personnes se sont réfugiées dans les pays voisins, plus de 230 000 ont été déplacées à l'intérieur du pays, selon le HCR. La France, de la colonisation à l'intervention en Libye, a une responsabilité particulière dans la situation actuelle. Elle ne peut s'exonérer de ses responsabilités vis à vis des souffrances du peuple malien. Elle doit appliquer pour les immigrés maliens avec ou sans papiers, un devoir d'hospitalité, qui doit se traduire par :


- un moratoire sur les expulsions de Maliens, en situation administrative irrégulière, vers leur pays d'origine et une régularisation à titre exceptionnel et humanitaire comme cela est prévu dans les textes en raison de l'état de guerre



- la suppression de l'exigence de visas pour les Maliens voulant venir en France

7°) Pour une solution politique basée sur la souveraineté du peuple malien

La reconquête de la souveraineté territoriale du pays doit aller de pair avec la reconquête par le peuple malien de sa souveraineté dans le cadre d'un processus national constituant , sans ingérence des grandes puissances. La France doit respecter la souveraineté des pays du Sahel sur leurs ressources naturelles. Ces derniers mois, la France n'a en rien contribué à l'émergence d'une solution politique discutée par l'ensemble des Maliens et de nature à favoriser un consensus, préalable à une réorganisation rapide des forces de sécurité. Aujourd'hui, la présence de soldats français jusque dans Bamako représente une pression importante sur les autorités maliennes en état de grande faiblesse. Une solution politique passe donc nécessairement par le retrait des troupes françaises. C'est aux Maliens qu'il revient de dessiner l'avenir de leur pays.

Premiers signataires :

Survie, Sortir du colonialisme, Afaspa, Cedetim, FASTI - fédération des associations de solidarité avec les travailleurs-euse-s immigré-e-s, Fondation Frantz fanon, Front Uni de l'Immigration et des Quartiers Populaires ( FUIQP)

NPA, Parti de Gauche (membre du Front de gauche), Gauche Anticapitaliste (membre du Front de gauche), PCOF (membre du Front de Gauche), PCM, Mouvman Antikoloniyalis Réniyoné (M.A.R)

Union des Populations du Cameroun (UPC- Section France), SADI (Mali), Attac Gabon,

Source : message reçu sur la liste Anticolonial le 28 février 12h


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Marche anticoloniale

Cortège « Libérez les prisonniers palestiniens »

Samer Issawi hospitalisé

Samer Issawi, en grève de la faim depuis plusieurs mois, a été sorti de la prison de Ramle et transporté dans un hôpital israélien. Ayman Sharawna est également dans un état critique. Nous appelons à manifester ce samedi 2 mars à Paris, et à rejoindre notre cortège "Libérez les prisonniers palestiniens" au sein de la marche anticoloniale et antiraciste qui partira à 14 H de Barbès.

Samer et Ayman, tous deux réincarcérés par Israel peu de temps après avoir été libérés dans le cadre de l'échange contre Gilad Shalit, rejettent la seule proposition faite par Israël à ce jour et consistant à les déporter à Gaza ou en Egypte, alors qu'ils sont de Cisjordanie, dont Jérusalem.

L'agence Maan annonce que les réfugiés palestiniens des camps du Liban observent une grève de la faim jeudi, en solidarité avec les grévistes de la faim dans les prisons israéliennes. Cette grève de la faim s'accompagne de manifestations et de sit-ins devant le siège de l'ONU à Beyrouth.

Il y a plus de 400.000 réfugiés palestiniens au Liban. Et ils sont toujours sous le choc du meurtre d'Arafat Jaradat, torturé à mort par les services secrets israéliens, lors de son interrogatoire.

Ses funérailles ont rassemblé des dizaines de milliers de personnes lundi près d'Hébron, malgré la fermeture par l'armée israélienne de plusieurs accès conduisant à Hébron et aux villages environnants.

Nous n'avons pas fini de parler de la torture pratiquée quotidiennement et systématiquement par Israël sur les hommes, les femmes et les enfants palestiniens.

Tous a la manifestation ce samedi 2 mars
Pour la liberation de tous les prisonniers politiques palestiniens !
Depart a 14 h de Barbes
Sous la banderole "libérez les prisonniers palestiniens"

(La marche anticoloniale sera également composée d'autres cortèges concernant les Kurdes, le Mali...)

CAPJPO-EuroPalestine

Source : http://www.ep-mir.com/spip.php?article8103


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Semaine anticoloniale 2013 - 8ème édition

Du 16 février au 3 mars

Programme au format PDF:

Le programme mis à jour régulièrement est disponible ici:
http://www.anticolonial.net/spip.php?article2661

Samedi 2 mars : Marche antiraciste et anticoloniale

Réseau sortir du colonialisme

Le Réseau "Sortir du colonialisme" fédère des membres individuels et des organisations (associatives, politiques et syndicales), cimentés par une Charte d'objectifs communs pour sortir du colonialisme . Pour soutenir sa démarche, il suffit d'être signataire de la Charte : Les anticolonialistes soutiennent les luttes des peuples, des minorités nationales, en lutte pour leur indépendance, leur autodétermination, et le respect de leurs droits bafoués par le colonialisme . Ni racialisme, ni paternalisme, mais l'affirmation d'une communauté d'intérêts, des valeurs de justice sociale, d'égalité entre les peuples, de respect de leur souveraineté et de solidarité internationale. Le nouvel anticolonialisme est une des formes organisées de la résistance au nouvel ordre impérialiste international.

http://anticolonial.net/IMG/jpg/Affiche_2013.jpg

Source : message reçu le 22 janvier 22h
Source : http://www.anticolonial.net/spip.php?article2...
Source : http://www.anticolonial.net/spip.php?article2...